The XIII mystery
Je viens de lire (merci Olivier) les deux tomes parus à ce jour dans la série XIII Mystery, le spin-off de la (trop) longue série XIII de Vance et Van Hamme.
Pour ceux qui auraient raté les multiples annonces publicitaires, le principe de la nouvelle série est de présenter en un tome l'un des personnages important mais "secondaire" des albums XIII.
Pour cela, Van Hamme convoque à chaque fois un couple scénariste+dessinateur différent, c'est donc un one-shot.
Sont donc parus à ce jour La Mangouste (par Meyer et Dorison) et Irina (par Corbeyran et Berthet), deux tueurs aux trousses de XIII.
Que dire...
Ces albums se lisent agréablement, sont bien illustrés, mais je me pose la question de l'intérêt même de la série pour quiconque d'autre que les fans qui ont déjà les 13 albums précédents.
Le problème de ces deux personnages, c'est qu'ils tuent. Donc ils ne sont pas sympathiques. Mais il faut que le lecteur ait envie de lire les albums. DOnc on explique leurs motivations par leur jeunesse, par un engrenage, presque une fatalité grecque.
Et c'est là que je coince. On évoque, sans trop s'y apesantir, les nombreux meurtres commis par La Mangouste et par Irina, mais à la fin ces tueurs doivent presque être pardonnés... Ce sont les limites de l'exercice.
Pour ceux qui auraient raté les multiples annonces publicitaires, le principe de la nouvelle série est de présenter en un tome l'un des personnages important mais "secondaire" des albums XIII.
Pour cela, Van Hamme convoque à chaque fois un couple scénariste+dessinateur différent, c'est donc un one-shot.
Sont donc parus à ce jour La Mangouste (par Meyer et Dorison) et Irina (par Corbeyran et Berthet), deux tueurs aux trousses de XIII.
Que dire...
Ces albums se lisent agréablement, sont bien illustrés, mais je me pose la question de l'intérêt même de la série pour quiconque d'autre que les fans qui ont déjà les 13 albums précédents.
Le problème de ces deux personnages, c'est qu'ils tuent. Donc ils ne sont pas sympathiques. Mais il faut que le lecteur ait envie de lire les albums. DOnc on explique leurs motivations par leur jeunesse, par un engrenage, presque une fatalité grecque.
Et c'est là que je coince. On évoque, sans trop s'y apesantir, les nombreux meurtres commis par La Mangouste et par Irina, mais à la fin ces tueurs doivent presque être pardonnés... Ce sont les limites de l'exercice.